Une fusillade dévastatrice a éclaté ce dimanche sur la célèbre plage de Bondi à Sydney, entraînant la mort de 11 personnes et suscitant une onde de choc mondiale. Les forces de police australiennes ont appris qu'un engin explosif artisanal avait été découvert dans le véhicule de l'un des assaillants, accentuant la gravité de cet acte considéré comme terroriste. Selon le chef de la police régionale, Mal Lanyon, cet événement tragique s'est produit lors de la célébration de la fête juive de Hanouka, ciblant directement la communauté juive rassemblée.
Des témoins oculaires ont décrié la scène insupportable. "C'était horrifiant. J'ai vu des gens courir dans tous les sens, et des enfants pleurer", a déclaré un témoin à la chaîne ABC News. Face à ce sinistre incident, le premier ministre australien, Anthony Albanese, a promis une réponse rigoureuse des autorités. "Les scènes à Bondi sont choquantes et bouleversantes", a-t-il souligné sur les réseaux sociaux.
Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a également réagi, affirmant : "L'Europe est avec l'Australie et toutes les communautés juives". Quant à Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies, il a qualifié l'attaque de "haineuse et odieuse". Des figures politiques et religieuses à travers le monde ont exprimé leur indignation face à cette escalade de la violence anti-juive.
Alors que l'enquête se poursuit, la police a interpellé deux suspects, dont l'un serait dans un état critique. Cette tragédie intervient dans un contexte d'augmentation alarmante des actes antisémites à travers le monde, faisant appel à un besoin urgent de lutte contre ce fléau, comme le souligne Renaud Muselier, président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur : "L'antisémitisme est un poison mortel". La communauté internationale se doit de rester vigilante et unie contre cette menace grandissante.







