À Toulouse, une mère, décrite comme fragile sur le plan psychologique, a été mise en examen et placée en détention, soupçonnée d'avoir tué son nouveau-né, trouvé dans son sac à dos. L'incident s'est produit quelques jours après la naissance de l'enfant.
Selon des sources locales, cette jeune femme s'est présentée à l'hôpital de Toulouse le lendemain de l'accouchement, portant un sac à dos contenant le corps sans vie du nourrisson. Elle a initialement déclaré qu'elle était venue rendre service à une amie. Toutefois, une perquisition à son domicile a révélé un placenta abandonné, remettant en question ses affirmations.
Le nouveau-né avait un poids de 3 kg et était viable, selon un rapport d'expertise. Les démarcations sur le corps du bébé et les circonstances entourant sa mort sont actuellement au centre des investigations. Les enquêteurs cherchent à établir s'il s'agit d'un acte intentionnel ou d'une tragédie résultant de l'état psychologique de la mère.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur le soutien destiné aux jeunes mères en détresse. Des experts en santé mentale soulignent la nécessité de programmes d’assistance plus accessibles pour prévenir de telles tragédies. Les déclarations de proches et d'experts, relayées par des médias comme Le Parisien, témoignent de l’urgence d'une prise de conscience collective.
Des investigations supplémentaires sont en cours pour aider à faire la lumière sur les circonstances tragiques entourant la mort de ce nourrisson et la détention de sa mère.







