Aux portes de l'été 2025, Jeannine et Claude Meignant, retraités de Couëron, se retrouvent au cœur d'un contentieux qui les oblige à quitter leur cherished mobile-home dans un camping de Préfailles. L'histoire a pris une tournure inattendue après que le propriétaire du camping a décidé de ne pas renouveler leur contrat de location en raison d'un mot qu'il a jugé inapproprié.
Le couple, qui avait investi plus de 40 000 euros pour un bungalow dans ce camping, pensait bénéficier d'une retraite paisible en bord de mer. « C'était un vrai petit paradis », se remémore Claude. Mais, après un échange malheureux où Claude a utilisé le terme « casse-couilles » pour désigner une situation inconfortable, leur relation avec le gérant a fait un tournant dramatique. De ce fait, ils se retrouvent aujourd'hui à devoir quitter les lieux.
Selon plusieurs experts en droit, cette situation soulève des questions sur la nature des contrats de location dans les campings, ainsi que sur les droits des locataires. Jean-Pierre Martin, spécialiste en droit immobilier, souligne que « la communication est essentielle, mais il est inquiétant de voir des conflits personnels déclencher des mesures aussi radicales ». Il ajoute que des cas similaires sont en augmentation, notamment dans des zones touristiques très fréquentées.
La réaction de Jeannine et Claude face à cette décision n’est pas celle d’un couple résigné. « Nous sommes déterminés à nous battre pour la justice », déclarent-ils. Dans un climat où la retraite et la vie paisible sont souvent menacées par des tensions, leur histoire fait écho à de nombreux témoignages d'investissements personnels dans des lieux de vie.
Des sources locales rapportent que de nombreux campeurs commencent à s'organiser pour défendre leurs droits et éviter de semblables situations. Le conflit entre le couple et le propriétaire a attiré l'attention des médias, et des pétitions en ligne commencent à circuler pour soutenir les Meignant. Les retours de la communauté indiquent que cette affaire est emblématique de la complexité de la vie en camping, où les relations humaines sont aussi fragiles que les mobil-homes eux-mêmes.







