Dans un drame bouleversant survenu à Nîmes, le corps d'un psychologue bien connu a été découvert enterré dans le jardin de son domicile, révèlent les autorités. Salah Bouabdallah, la victime, était porté disparu depuis plusieurs jours avant que son fils, âgé de 27 ans, ne se présente au commissariat pour avouer qu'il avait mis un terme à la vie de son père lors d'un différend familial le 21 décembre.
Selon les déclarations de la procureure, le jeune homme a conduit les enquêteurs à l'emplacement de la dépouille, retrouvée vêtue et à même le sol. L'autopsie réalisée a confirmé que la mort était due à des violences. Le fils a depuis été mis en examen et placé en détention provisoire.
Ce tragique événement soulève de nombreuses questions. Le psychologue, connu dans sa communauté, était également fiché S et devait comparaître prochainement devant un tribunal pour des accusations liées à l'apologie du terrorisme. Le constat de sa mort surprise a soulevé des interrogations chez les spécialistes en criminologie qui soulignent la complexité des relations familiales.
« La violence intra-familiale est souvent cachée, et ce type de tragédie peut provenir d'un mélange de tensions accumulées », explique un expert en psychologie, soulignant qu'il est primordial d'étudier les dynamiques familiales pour éviter de telles issues dévastatrices.
Pour de plus amples informations sur cette affaire, les enquêteurs poursuivent les investigations afin de comprendre les motivations exactes de ce drame, qui a laissé la communauté de Nîmes sous le choc.







