Lors du tirage au sort de la Coupe du Monde 2026, la France a hérité de la Norvège, laissant de nombreux observateurs perplexes, notamment en raison de la présence d'autres nations potentiellement compétitives. Réalisé le 5 décembre à Washington, ce tirage a ainsi donné lieu à des débats passionnés dans le milieu sportif.
Les Bleus se retrouvent donc dans le groupe I, en compagnie du Sénégal et d'un barrage, dont le nom sera révélé en mars prochain — un match entre la Bolivie, le Suriname ou l'Irak. La Norvège, avec son attaquant vedette Erling Haaland, représente un défi de taille, rendant ce groupe quelque peu redoutable.
Didier Deschamps, le sélectionneur de l'équipe de France, a exprimé sa surprise sur RMC, déclarant : "L'Ouzbékistan s'est transformé en Norvège, ce n'était pas la meilleure des transformations. On fera avec." Cette citation résume bien la confusion qui règne autour de ce tirage.
Un point essentiel à considérer est que l'Ouzbékistan, novice en Coupe du Monde, aurait dû logiquement intégrer ce même groupe. Toutefois, une règle stipule qu'aucune équipe d'une même confédération, à l'exception de l'Europe, ne peut être placée dans le même groupe. En d'autres termes, l'Ouzbékistan, représentant de l'Asie, pouvait théoriquement se retrouver en face des Bleus.
Cette complexité s'explique par la nature des adversaires qui se cachent dans le chapeau 4, avec plusieurs barragistes inconnus. Ces facteurs ont rendu le processus de tirage encore plus délicat, comme l'expliquent les experts du domaine. L'Équipe a souligné que le tirage au sort de cette compétition nécessite de jongler avec des règles souvent obscures, laissant parfois place à une interprétation multiple.
En somme, le tirage au sort a déjà suscité de nombreuses inquiétudes et curiosités, mais une chose est sûre : la France devra se préparer intensément pour faire face à des adversaires redoutables, à commencer par la Norvège. Avec des équipes comme le Sénégal et un barrage à venir, le chemin vers le titre s'annonce semé d'embûches.







